french KZ Schandelah - auf Französisch

La fin proche

A cause des alliées approchants, le 10 avril 1945 les gardiens évacuaient tous les environ 1200 prisonniers. Aprés une marche à pied jusqu’ à la gare de Schandelah ils furent transportés à Wöbbelin aprés dans 36 wagons de bestiaux. Ici, avec des prisonniers d’autres camps de concentration ils furent libérés par l’arm éeaméricaine le 2 mai 1945.

Comme Dr. Zschirpe et le nazi-maire l’agriculteur Heinrich Jürgens, qui organisaient l’ élimination des barrages dressées à Schandelah avant que les américains ne s’approchaient, ils furent fusillés le 12 avril pour «sabotage et comportement défaitiste». Bientôt aprés la guerre ils furent honorés par le village de Schandelah qui dénommait les rues d’apr ès eux étant victimes des nazis.

Dans une livre de la patrie du canton rural Wolfenbüttel édifiée en 1999 le chroniqueur du village de Schandelah se rappelaient des deux d’une façon indifférenciée et finissait sa contribution avec une citation pris du discours du 8 mai 1985 de Weizsäcker. Le fait que Jürgens fut maire – tête du village - de 1928 jusqu’ à sa mort en 1945 et ainsi avait soutenu le pouvoir nazi en fonction de sa profession, cela il ne le mentionnait nulle part. Le collaborateur nazi n’ était qu’un victime. A l’ église de Schandelah se trouve un commémoratif pour Zschirpe et Jürgens. Il porte l’inscription suivante: «Pour la liberté et le droit - au salut de la commune - le maire Heinrich Jürgens et le médecin Docteur Fritz Zschirpe devaient laisser leurs vies le 12 avril 1945. En mémoire honorifique, la commune de Schandelah. »La Commune de Schandelah jamais s’occupait de ses victimes nazi morts ou tués dans sa commune.

En septembre 1984 la conseillére des verts Ursula Schaefer demandait au conseil administratif de la paroisse, s’il pouvait consentir à la construction d’un symbole commémoratif pour les victimes du camp de concentration prés des tableaux d’honneur pour les morts aux deux guerres mondiales et prés des tableaux commémoratifs pour Dr. Zschirpe et le maire Jürgens. Elle recevait une réponse, sans détour: «Le conseil administratif de la paroisse ne peut pas consentir à votre demande.»